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Sécurité informatique

AWS change les prix des logs de Cloudwatch dans Lambda

Contrairement au tarif forfaitaire précédemment facturé, AWS a introduit une facturation échelonnée pour les logs de son outil d’observabilité Cloudwatch dans Lambda. L’objectif est de réduire les coûts pour les entreprises consommant de gros volumes de données.
Le service serverless d’AWS voit sa tarification évolué et en particulier l’offre d’observabilité Cloudwatch attenante. « A partir du 1er mai, AWS a annoncé dans les logs de Lambda, qui peuvent réduire les coûts des logs de Cloudwatch dans Lambda et rendre plus facile et rentable l’utilisation d’un plus large éventail d’outils de surveillance », précise la société dans un blog. Pour mémoire, Cloudwatch est un service du fournisseur de cloud qui propose aux développeurs de surveiller, de stocker et d’accéder à leurs fichiers de logs provenant de différents services de calcul, de mise en réseau et de stockage AWS.
Dans le cas de Lambda, les logs de Cloudwatch peuvent fournir des données et des informations aux développeurs pour les aider à comprendre les problèmes de performance et les défaillances potentielles des applications serverless et à effectuer des actions telles que le dépannage et le débogage. AWS propose trois classes de logs : standard, infrequent access et live tail.
Des tarifs en fonction du volume
Dans le cadre de la modification tarifaire, la classe standard devient logs vended et contrairement au tarif forfaitaire précédemment facturé pour cette classe, un plan de tarification par paliers, basé sur le volume, a été introduit. Auparavant, les entreprises devaient payer un forfait de 0,50 $ HT par Go pour l’ingestion des logs standard sur CloudWatch. Avec un prix basé sur le volume, les entreprises paieront 0,50 $ par Go pour les 10 premiers To par mois, 0,25 $ par Go pour les 20 To suivants par mois, 0,10 $ par Go pour les 20 To suivants par mois, et 0,05 $ par Go pour les 50 To suivants par mois. « Les niveaux de prix s’adaptent à votre volume de journalisation, garantissant que les avantages en termes de coûts augmentent au fur et à mesure que votre application se développe. Cela vous permet de maintenir des pratiques de journalisation complètes dont le coût aurait pu être prohibitif auparavant », écrit AWS.

Les prix évoluent en fonction des classes de logs choisies. (Crédit Photo : AWS)
La mise à jour modifie également la tarification de la classe de journalisation Infrequent Access, qui est près de 50 % moins chère que la classe de journalisation Standard. Contrairement au tarif fixe de 0,25 $ HT par Go, les entreprises paieront désormais 0,25 $ par Go pour les 10 premiers To par mois, 0,15 $ par Go pour les 20 To suivants par mois, 0,075 $ par Go pour les 20 To suivants par mois, et 0,05 $ par Go pour les 50 To suivants par mois. En revanche, la tarification de la classe de logs live tail (analyse de logs en temps réel) n’a subi aucun changement de prix.
Des endroits supplémentaires pour stocker les logs Lambda
En plus de modifier le prix des logs pour Lambda, les développeurs peuvent désormais stocker les journaux générés par leurs instances Lambda dans S3 et Data Firehose (service de gestion de données en streaming). Les deux services incluent également une tarification progressive basée sur le volume qui est identique. Les entreprises doivent payer 0,25 $ par Go pour les 10 premiers To par mois, 0,15 $ par Go pour les 20 To suivants par mois, 0,075 $ par Go pour les 20 To suivants par mois et 0,05 $ par Go pour les 50 To suivants par mois pour les deux localisations de stockage.
AWS s’attend à ce que la prise en charge des logs dans Firehose aide les entreprises à rationaliser la livraison des logs Lambda vers des endroits supplémentaires telles que OpenSearch Service (le fork d’Elasticsearch), les points d’extrémité HTTP et les fournisseurs d’observabilité tiers, tels que Splunk, Sumo Logic et New Relic. En début de semaine, le fournisseur de services cloud a ajouté la prise en charge de mesures de coûts et de capacités de filtrage supplémentaires à son outil de gestion financière, Budgets, qui est conçu pour aider les entreprises à suivre leurs dépenses en définissant des seuils d’utilisation personnalisés sur divers services individuellement ou pour l’ensemble de l’entreprise. Quelques jours auparavant, il a mis à jour sa capacité d’automatisation des données au sein de son service Bedrock pour le développement d’applications d’IA générative.

Sécurité informatique

Avec Agentexchange, Salesforce lance sa place de marché d’agents IA

Après Agentforce, Salesforce monte en puissance sur l’adoption des agents IA avec une place de marché dédiée. Nommée Agentexchange, elle regroupe partenaires et développeurs pour proposer des composants (actions, rubrique, modèles) pour créer son agent dans différents domaines et secteur d’activités.
Le dynamisme de Salesforce pour les agents IA ne faiblit pas. Pendant qu’Agentforce a évolué en version 2.0, le spécialiste de CRM en mode SaaS vient de présenter sa place de marché dédiée à ce sujet. Baptisée Agentexchange, elle va proposer au débit des actions, des sujets et des modèles provenant de 200 partenaires sur des domaines particuliers comme les ventes, les services, les finances, les ressources humaines, la productivité et les opérations dans divers secteurs, notamment l’industrie, la distribution, l’éducation, l’hôtellerie et les soins de santé.
Dans le détail, les actions sont des éléments qui peuvent être ajoutés aux agents existants. Cela se traduit par l’intégration de composants Apex (langage de programmation orienté objet de Salesforce), de flows, d’APIs et de prompts pour s’adapter aux cas d’usage. Les rubriques » organisent et affinent le comportement des agents en regroupant les actions et les instructions autour d’une tâche ou d’une mission », précise un communiqué de la société.
200 partenaires référencés
Enfin, les modèles se déclinent en modèles de prompts et de modèles d’agent. Les premiers sont des invites pré-écrites et réutilisables qui garantissent des interactions cohérentes entre les agents. Les seconds agrègent plusieurs rubriques et des actions des partenaires pour accélérer la création d’agents. Parmi les partenaires d’Agentexchange figurent Box, DocuSign, Workday, Appiphony, Highspot, Neuron 7, SalesWings, Seismic, Asymbl, Bullhorn, Certinia, FinDoc et OpenText. Au total, plus de 200 partenaires sont référencés proposant une centaine de solutions. La place de marché est accessible à tous, mais pour l’instant seuls les modèles de prompts et les rubriques sont packagés et référencés. Les modèles d’agents ouvriront en avril 2025.
« Salesforce a été le pionnier du marché de l’IA agentique avec Agentforce, qui a ensuite vu l’arrivée de nombreux concurrents. Avec son initiative de place de marché, il a démontré son approche proactive », a déclaré Vershita Srivastava, directeur de pratique à l’Everest Group. De son côté, Jason Andersen, analyste principal chez Moor Insights & Strategy explique que, « AgentExchange favorisera la consommation d’agents et permettra à une entreprise ou à un développeur de prendre une longueur d’avance dans l’adoption et l’utilisation d’agents ». Il modère néanmoins son enthousiasme en confiant que le succès d’Agentexchange dépendra du degré de personnalisation requis lors de la mise en œuvre des actifs achetés. « Sera-t-il facile d’intégrer ses propres données pour offrir une expérience utilisateur plus personnalisée ? Je suppose que cela variera d’un agent à l’autre », s’interroge l’analyste. Pour Vershita Srivastava, cette annonce répond à une demande « les petites et moyennes entreprises utilisent principalement des agents préconstruits pour leurs déploiements initiaux, plutôt que de faire appel à des créateurs d’agents personnalisés ».

Sécurité informatique

Google Workspace rajoute des modules IA abordables

Face à Microsoft proposant Copilot pour 30 $ HT dans sa suite bureautique, Google Cloud annonce un plan tarifaire à 10 $ HT par utilisateur et par mois pour accéder à des fonctionnalités d’IA. Par ailleurs, le fournisseur a présenté l’application Vids pour créer des vidéos.
Comment se démarquer par rapport à la concurrence ? La réponse peut être soit ajouter des fonctionnalités, soit jouer sur les prix. Et c’est sur cette deuxième option que joue Google Cloud à propos de la suite bureautique Workspace et des fonctionnalités basées sur l’IA. A l’occasion de sa grande messe à Las Vegas, le fournisseur a annoncé un plan tarifaire à 10$ HT par mois et par utilisateur pour un module nommé AI Meetings et Messaging. Une manière de se démarquer de l’offre Copilot qui s’affiche à 30$ HT par mois et par utilisateur dans Microsoft 365. Un moyen aussi d’aller chercher des entreprises ne souhaitant pas investir dans le portefeuille IA complet de Workspace.
Des modules IA et de sécurité à 10$ HT par mois et par utilisateur
Le module est basé sur le LLM Gemini de Google et s’intègre dans l’outil de vidéoconférence Meet. Concrètement, les fonctions comprennent la génération d’arrière-plan, des améliorations de la qualité vidéo basées sur l’IA, une traduction automatique des sous-titres (disponible dès à présent en avant-première) et une prise de notes automatisée pendant les réunions (disponible en juin). Une fonction audio adaptative est également prévue (disponibilité générale le mois prochain), ainsi qu’un filigrane pour les partages d’écran afin d’éviter les fuites de données (prévu pour le troisième trimestre de l’année).
Google proposera la traduction automatique des messages et des résumés de conversation dans Google Chat dans le cadre de l’extension, une fois que les fonctionnalités seront disponibles dans le courant de l’année. « Je pense que les entreprises qui adopteront l’offre AI et Meetings – et qui encourageront leur utilisation et leur adoption en interne – verront des gains de temps significatifs qui justifieront les dépenses pour cet avantage », a déclaré Wayne Kurtzman, vice-président de la recherche Social, Communities and Collaboration chez IDC. A noter que Google Cloud a également annoncé un second module à 10$ HT mensuel et par utilisateur, AI Security. Il promet de « classer et de protéger automatiquement les fichiers sensibles » stockés dans Drive, selon Google.
Vids, un assistant vidéo dans Workspace
Dans le portefeuille de Workspace, il faudra compter sur une application supplémentaire : Vids. Elle vise à simplifier la création de vidéos en fournissant des conseils pour la production et l’édition de contenus vidéo dans un cadre professionnel. Il pourra donc s’agir de vidéo pour l’onboarding de nouveaux salariés, la formation ou les argumentaires de vente. L’assistant IA peut créer un story-board et suggérer des images de fond, par exemple, et propose des voix off prédéfinies pour narrer une vidéo.

Vids accompagne les utilisateurs dans la création de leurs vidéos. (Crédit Photo : Google)
« Vids sera associé à nos autres outils de productivité tels que Docs, Sheets et Slides », a déclaré Aparna Pappu, directrice générale et vice-présidente de Google Workspace, dans un billet de blog.  « Comme eux, il comprend une interface simple et facile à utiliser, ainsi que la possibilité de collaborer et de partager des projets en toute sécurité à partir de votre navigateur », ajoute-t-elle. De son côté, Wayne Kurtzman d’IDC indique que l’application « démontre la multimodalité de Gemini ».

Sécurité informatique

AWS adapte le service Clean Rooms à l’IA

Le fournisseur de cloud a dévoilé des fonctionnalités en test de machine learning pour son service Clean Rooms. Un espace où les entreprises et leurs partenaires pourront travailler sur des modèles d’IA à partir de données échangées.
L’IA et le machine learning infusent toutes les couches de l’IT. AWS a multiplié les annonces cette semaine lors de son évènement re:Invent. Parmi les présentations, une concerne Clean Rooms, un service sécurisé de partage de données et de collaboration entre les entreprises et leurs partenaires. Le fournisseur de cloud a instillé dans cette solution des fonctions de machine learning.
Baptisées Clean Rooms ML, ces fonctions seront capables de former des modèles d’IA avec les données présentes dans ces salles sécurisées. « Avec AWS Clean Rooms ML, vous pouvez former votre propre modèle personnalisé en utilisant vos données, et inviter vos partenaires à apporter un petit échantillon de leurs informations pour générer un modèle d’IA test tout en protégeant vos données sous-jacentes et celles de votre partenaire », a déclaré Swami Sivasubramanian, vice-président des données et de l’IA chez AWS. Il ajoute que prochainement cette capacité de modéliser sera disponible pour les données de santé.
Pilotable depuis une console
Clean Rooms ML est accessible en module autonome dans le cadre de l’offre d’AWS for Advertising and Marketing. Les fonctions seront disponibles dans les régions suivantes : Est des États-Unis (Ohio), Est des États-Unis (Virginie du Nord), Ouest des États-Unis (Oregon), Asie-Pacifique (Séoul), Asie-Pacifique (Singapour), Asie-Pacifique (Sydney), Asie-Pacifique (Tokyo), Europe (Francfort), Europe (Irlande), Europe (Londres) et Europe (Stockholm).
Pour mémoire, Clean Rooms a été lancé lors de re:Invent 2022 et il est accessible via la console de gestion, où une entreprise peut choisit le partenaire avec lequel elle souhaite collaborer. Cette console offre des options pour choisir les ensembles de données à partager et configurer les autorisations pour les participants. AWS ajoute que les ensembles de données qui sont partagés dans la salle blanche sont chiffrés et n’ont pas besoin de sortir de l’environnement AWS ou d’être chargés dans une autre plateforme.